Das Thema Künstliche Intelligenz (KI) ist für die Übersetzungsbranche nun wahrlich nichts Neues. Was mit Google Translator 2006 begann, entwickelte sich spätestens 2017 mit DeepL zu einem praktischen Mittel für den privaten und geschäftlichen Gebrauch, mit dem auch wir immer häufiger konfrontiert wurden. Mit der Einführung des Chatbots ChatGPT letztes Jahr sind nun aber auch eine Vielzahl weiterer Branchen mit dem Fluch oder Segen der künstlichen Texterstellung konfrontiert. Was bedeutet dies im Alltag von ITSA?
Vor künstlicher Intelligenz kann sich – nolens volens – wohl niemand mehr von uns verschliessen. Doch was bedeutet das konkret für ITSA-Kundinnen und –Kunden? Wie können Sie sicher sein, welche Texte mit Hilfe von KI übersetzt wurden und welche nicht?
Die Transparenz darüber ist in der Übersetzungsbranche nicht immer in gleichem Masse vorhanden, in vielen Fällen wissen die auftraggebenden Personen nicht, ob ihre Texte mit KI bearbeitet werden oder nicht. Dies führt häufig zu Verunsicherungen, da die Resultate nicht immer den Erwartungen entsprechen und sich teilweise eklatante Differenzen in der Preisberechnung ergeben. Von möglichen Konflikten im Bereich Datenschutz ganz zu schweigen.
ITSA arbeitet diesbezüglich mit klaren Prinzipien: Der offene Informationsaustausch mit Ihnen ist oberstes Gebot. Unsere Übersetzungen stammen, sofern nicht anders gewünscht, allesamt aus der Feder eines Humanübersetzenden. Nur wenn unsere Kunden ausdrücklich eine Bearbeitung mit KI wünschen, setzen wir diesen Wunsch auch in die Tat um. In solchen Fällen muss dann geklärt werden, ob ein sogenanntes „Full Postediting“ oder ein „Light Postediting“ gewünscht wird. Ersteres entspricht in der Qualität einer hochwertigen Humanübersetzung, letzteres stellt die inhaltliche Übereinstimmung von Original und Übersetzung sicher, jedoch ohne Überprüfung von Terminologie, Konsistenz oder Stil.
Ob und welche Texte sich für den Einsatz mit KI lohnen, ist nicht immer klar vorauszusehen. Die Vorteile von KI liegen klar auf der Hand: Geschwindigkeit und im besten Falle auch geringere Kosten. Die Nachteile: KI ist mitnichten unfehlbar und weist im Bereich der Übersetzung auch diverse Einschränkungen auf. So ist die Technologie nicht in der Lage, eine Übersetzung an die Zielleserschaft anzupassen. Ein nicht unwesentlicher Punkt, geht es doch gerade bei Übersetzungen häufig darum, das Lokalkolorit zu treffen, um den Leser zu erreichen. Eine Human-Überarbeitung eines künstlich übersetzten Textes kann letzten Endes aufwändiger sein als eine Neuübersetzung.
An dieser Stelle soll auch das Thema Datenschutz nicht unerwähnt bleiben. Gerade mit dem Inkrafttreten des neuen Datenschutzgesetzes ab September dieses Jahres muss diesem Punkt natürlich auch bei der Verwendung von KI-Technologie eine zentrale Rolle zukommen.
Bei Aufträgen mit Einsatz von KI-Technologie arbeiten unsere Übersetzer ausschliesslich mit Software-Lösungen, die den Datenschutz lizenzrechtlich garantieren. Ihre Daten werden somit nie in öffentlich zugänglichen Systemen eingegeben oder bearbeitet, eine entsprechende werkvertragliche Regelung wurde mit jedem einzelnen freiberuflichen Übersetzenden getroffen und unterzeichnet.
Das Thema KI-Übersetzungen hat sich rasant entwickelt, genau deshalb ist die Verunsicherung vielerorts gross. KI-Technologie ist weder eierlegende Wollmilchsau noch Werkzeug des Teufels, ein Einsatz von KI will sorgfältig abgewogen sein. Wir beraten Sie gerne in dieser Hinsicht, sei es per Mail oder Telefon.
Weitere Infos unter:
www.itsa.ch/maschinelle-uebersetzungen
www.itsa.ch/datenschutzerklaerung
Le thème de l’intelligence artificielle (IA) n’est vraiment pas nouveau pour le secteur de la traduction. Ce qui a commencé avec Google Translator en 2006 s’est développé pour aboutir, au plus tard en 2017, à DeepL, un outil pratique pour l’usage privé et professionnel, auquel nous avons très souvent été confrontés nous aussi. Mais avec l’introduction du chatbot ChatGPT l’année dernière, une multitude d’autres branches sont désormais, elles aussi, confrontées à la malédiction ou à la bénédiction de la création artificielle de textes. Qu’est-ce que cela signifie dans la vie quotidienne d’ITSA ?
Bon gré mal gré, plus personne ne peut ignorer l’intelligence artificielle. Mais qu’est-ce que cela signifie concrètement pour les client·es d’ITSA ? Comment pouvez-vous distinguer avec certitude les textes qui ont été traduits à l’aide de l’IA de ceux qui ne l’ont pas été ?
La transparence à ce sujet n’est pas partout présente dans la même mesure dans le secteur de la traduction ; dans de nombreux cas, les donneurs·euses d’ordre ne savent pas si leurs textes sont traités à l’aide de IA ou non. Cela suscite souvent des incertitudes, car les résultats ne correspondent pas toujours aux attentes et des différences parfois flagrantes apparaissent dans le calcul des prix. Sans parler des éventuels conflits en matière de protection des données.
A cet égard, ITSA s’est donné des principes clairs : L’échange transparent d’informations avec vous est la priorité absolue. Sauf demande contraire, toutes nos traductions émanent d’une traductrice humaine ou d’un traducteur humain. Ce n’est que lorsque nos clients demandent expressément un traitement avec l’IA que nous concrétisons ce souhait. Dans de tels cas, il convient de déterminer au préalable si l’on souhaite l’option «Full Postediting» ou la variante «Light Postediting». La première option correspond en termes de qualité à une traduction humaine de haute qualité, la seconde assure la conformité du contenu de l’original et de la traduction, mais sans vérification de la terminologie, de la cohérence ou du style.
Il n’est pas toujours aisé de déterminer à l’avance pour quels textes l’utilisation de l’IA est pertinente. Les avantages de l’IA sont manifestes : vitesse et, dans le meilleur des cas, réduction des coûts. Les inconvénients : l’IA n’est pas infaillible et présente également diverses limites dans le domaine de la traduction. Ainsi, la technologie n’est pas en mesure d’adapter une traduction au public cible. Un point non négligeable, puisqu’il s’agit souvent de donner la couleur locale aux traductions, afin de toucher la lectrice ou le lecteur. La révision humaine d’un texte traduit au moyen de l’intelligence artificielle peut finalement s’avérer plus coûteuse qu’une nouvelle traduction.
On ne saurait non plus ici passer sous silence la question de la protection des données. Avec l’entrée en vigueur de la nouvelle loi sur la protection des données à partir de septembre de cette année, ce point devrait jouer un rôle crucial dans le contexte de l’utilisation de l’IA.
Pour les missions impliquant l’utilisation de technologies d’intelligence artificielle, nos traducteurs·trices travaillent exclusivement avec des solutions logicielles qui garantissent la protection des données en vertu des droits de licence. Vos données ne sont donc jamais saisies ou traitées dans des systèmes accessibles au public, un règlement correspondant a été conclu et signé avec chaque traducteur·trice indépendant·e dans le cadre de contrats de services.
La thématique de la traduction par l’IA a connu une évolution fulgurante, et c’est précisément pour cette raison que l’incertitude est grande un peu partout. La technologie de l’IA n’est ni une panacée ni un outil diabolique, son utilisation doit être soigneusement évaluée. Nous vous conseillons volontiers à ce sujet, par mail ou par téléphone
Plus d’informations sous :
www.itsa.ch/fr/traduction-automatique
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